lundi 4 octobre 2010

Le détail qui tue

Allons bon. Maintenant que les derniers estivants sont rentrés, que le train train a recommencé, c'est sûr, c'est la rentrée.
De mon côté j'ai un peu plus de temps qu'auparavant à consacrer à mes activités de créations diverses (traduisez : je suis au chômage). Avant je limitais les thèmes de mes postes à mes créations, mais finalement pourquoi ? Si on ne peut plus mettre de tout et de rien dans son sac, ce n'est plus un sac à puce.

Bref, c'est reparti.

Loin de moi l'idée d'être une prêtresse de la mode, vous trouverez des tas de blogs over fashions plus ou moins connus sur le sujet. Mais j'ai mon petit avis quand même. D'où cette nouvelle rubrique "Le détail qui tue".

Qu'est ce que c'est me direz-vous ?
Et bien le détail qui tue c'est le collier de la nana assise en face de vous dans le métro. Oui, oui, celui que vous crevez d'avoir car il est trop canon. Vous êtes mêmes prêt(e) à lui demander où elle l'a acheté mais forcément elle descend de la rame avant que vous n'ayez osé. C'est aussi la barrette trop chouette qui métamorphose complétement le look de votre collègue de bureau, les ballerines qui révolutionnent votre idée des ballerines, l'accessoire que tout le monde remarque sur vous en soirée... Bref, c'est le petit plus qui fait toute la différence même si votre tenue n'est, en définitive, pas si folle que ça. En somme, une pointe de créativité.

Oula, j'ai déjà beaucoup écrit. L'humeur est morose, le temps est gris, le détail qui tue d'aujourd'hui fait plus que de protéger des intempéries, il me garde de la mélancolie.

Qu'il est bon, qu'il est doux, qu'il est bon d'être fou.

Parapluie à coeurs en plastique transparent acheté à Oxford, il y a bien longtemps.

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